La 4e de couv. indique : "Il lui avait dit une fois : « Vous savez Il n¹y a pas plus pauvre qu¹une femme sans souvenirs. » Plus tard, elle comprendrait que la plus grande douleur ne vient pas de ce qui ne fut jamais à nous, mais de ce que nous avons possédé pour un bref moment et qui nous manquera à jamais. Hdla, dont le père, chanteur, a été assassiné en Algérie par les intégristes pendant les années 1990, défie les meurtriers et brave les interdits en chantant pour la première fois à ses funérailles. Elle doit alors quitter son pays. Un richissime homme d¹affaires libanais la découvrira plus tard en vedette dans une émission de télé, lumineuse et vœtue de noir. Follement épris, il usera de tous les artifices que permet sa fortune pour lui montrer ce dont un homme amoureux est capable. Belle et rebelle, cette Berbère, habituée à faire face au terrorisme, continuera à tenir tœte au pouvoir de l¹argent"